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Études de cas
Études de cas
Congé parental et temps partiel
Burn-out
Une structure de Conseil en organisation à taille humaine se compose majoritairement de cadres et de femmes avec une moyenne d’âge d'environ 37 ans.
Le temps partiel concerne en majorité des femmes âgées de 28 à 38 ans pendant la période du congé parental. Nombre d’entre elles demandent, à l’issue de ce "congé", des journées en télétravail sur la base d'un temps plein.
Le télétravail est-il aujourd’hui une alternative pertinente au temps partiel des cadres ? A quelles aspirations du salarié répond-il ? Ce type de dispositif est-il subi ou choisi par l’employeur ?
Un opérateur de télécoms multiplie les cas de burn-out chez ses cadres. Ces salariés sont pourtant bien évalués dans l’entreprise, leur motivation et leur adhésion ont souvent été remarquées. Leur absentéisme est faible.
Le temps partiel peut être un outil permettant de redonner du sens au travail en cohérence avec les valeurs et engagements professionnels et personnels des salariés.
Le temps de travail peut-il être une variable d’ajustement permettant de maintenir la motivation et l’implication de ses salariés talentueux ?
Charge de travail
Taux d'absentéisme important
Une multinationale de l’agroalimentaire multiplie les distinctions pour sa qualité de vie au travail. Cependant la très grande majorité des salariés, notamment les cadres, se plaignent de la charge de travail. N’y a-t-il pas là contradiction ? Comment gérer ce déséquilibre ?
Les exigences et la qualité du travail peuvent-ils être appréciées sans tenir compte du temps de travail ? Les salariés perçoivent-ils différemment leur charge de travail selon leurs engagements hors emploi ?
Un organisme de prévoyance a un taux d’absentéisme important, réparti de façon homogène entre les cadres et non cadres. Il apparait néanmoins que les salariés à temps partiel sont sensiblement moins absents que ceux à temps plein.
L’implication des salariés est-elle inversement proportionnelle à leur temps de travail ?
Choisir son temps de travail serait-il un moyen de faire évoluer les conditions de travail et contribuer à faire baisser l’absentéisme ?
D'autres l'ont fait, pourquoi pas vous ?
Jeanne (40 ans), 3 enfants. Diplômée d’une grande école de commerce, elle travaille depuis plus de 10 ans chez un « big » dans la grande consommation.
Après plusieurs années avec une organisation personnelle « sous tension » et afin de profiter davantage de ses enfants encore jeunes, elle souhaite trouver un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Mais elle ne veut pas pour autant perdre le bénéfice des efforts réalisés depuis plusieurs années pour toujours « être au top » !
Parce qu'en levant le pied, Jeanne refuse de « faire une croix sur sa carrière », elle recherche une entreprise « intelligente » capable de lui proposer un poste ambitieux, à la hauteur des compétences mais … à temps partiel !
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